Le 19/12/1946, L’Oncle Ho a ordonné “Résistance nationale”, a appelé l’ensemble du pays à lutter contre la France.
…À la fin du mois 12/1946, Les colonialistes français ont continué à provoquer les conflits partout, surtout à Hanoi. Le 17 décembre, ils ont brutalement assassiné les compatriotes dans la rue Hang Bun; Le 18 décembre, la France nous a envoyé à plusieurs reprises un ultimatum pour demander à occuper un certain nombre de postes importants à Hanoi, en exigeant à dissoudre nos forces de sécurité, de suspendre les activités préparatoires de la Résistance, exigeant que l’armée française maintienne la sécurité dans la ville, à la date limite, le 20 décembre 1946
Dans cette situation, les 18 et 19 décembre, Oncle Ho a présidé la réunion d’expansion du Comité central permanent dans le village de Van Phuc, décidant de déclencher la résistance dans l’ensemble du pays.
La réunion a lancé une politique fondamentale de la résistance persistante contre la France et via l’appel de Ho Chi Minh pour une «résistance nationale».
6h45 au soir du 19/12, Oncle Ho a été quitté Van Phuc et l’Appel de la Résistance nationale l’a suivi et répandu partout, a touché aux millions cœurs Vietnamiens, comme une indice de sauver le pays “ Compatriotes de la nation! Nous voulons la paix, nous devons faire des compromis, mais plus nous conquérons, plus l’invasion coloniale française sont déterminés à voler note pays! Non! Nous préférerions tout sacrifier, mais certainement ne pas perdre du pays, certainement ne pas être des esclaves.
…Le moment est venu. Nous devons sacrifier la dernière goutte de sang pour préserver le pays. Malgré des difficultés de la résistance, mais avec une détermination à sacrifier, une victoire sera à notre nation! »
Cet appel solennel à cette journée résonne encore, magnanimement, a porté l’âme des montagnes et des rivières du Vietnam. Peu de gens soupçonnent que le président bien-aimé de la nation l’a préparé pendant le mini dans un étroit couloir du village de Van Phuc
En 1946, un an de l’indépendance du Vietnam, le gouvernement était encore très jeune, les colonialistes français ont été retournés pour provoquer le conflit en reprenant notre pays encore une fois. Le 19 décembre 1946, le président Ho Chi Minh a donné l’ordre de «résistance nationale», appelant le pays à lutter contre les Français, mais peu des gens savaient que l’appel avait été envoyé du village de Van Phuc – un petit village au bord de la rivière Nhue à Ha Dong (ancienne province de Ha Tay).
Selon les documents conservés du village Van Phuc, à la fin de 1946, à l’époque que tout le pays se préparait en urgence à entrer dans la résistance permanente contre le colonialisme français, du 3 au 19/12/1946 Oncle Ho et quelques autres camarades sont venus à habiter et travailler chez M. Nguyen Van Duong, Doan Ket Hamlet, village de Van Phuc, Ha Dong – une famille de commerce de la soie bien connue dans le village. Actuellement, cette maison est utilisée comme Maison commémorative de l’Oncle Ho.
Selon la parole de Nguyen Tuan Lieu (plus de 80 ans), le deuxième fils de Nguyen Van Duong (décédé), alors qu’il étudiait encore le baccalauréat.Le lieu de vie et de travail de l’oncle Ho était sa propre chambre privée. L’oncle et ses cadres sont arrivés à la maison vers 19 h au 3 décembre 1946, lorsque la famille a fini de manger. Après avoir arrangé le logement pour la délégation au 2ème étage, il y avait une femme de ménage dans la délégation (plus tard connue sous le nom de Thanh) a descendu pour dire à la famille: « Il demandait à la famille pour le dîner parce que après terminer son travail à Hanoi, il a été venu toute de suite ici. Mais il n’a besoin que les plats disponibles, pas besoin d’abattre le poulet, il ne mangeait pas »
Quand il a connu qui est « le cadre supérieur », M. Duong (père Nguyen Tuan Lieu) a appelé son fils et a dit: « C’est un grand honneur pour notre famille, même l’argent n’est plus précieux. Mais monsieur Phuc (secrétaire du Parti de la commune de Van Phuc) a été dit de garder absolument le secret, même la commune ne pouvait pas connaitre spécifiquement, seulement être dirigé à s’arranger la défense, à renforcer la garde de jour et nuit en vérifiant strictement les personnes inconnues. Même pour nos frères et sœurs, nos cousins, on n’e laisse personne à savoir… »
Ce que son père a commandé, M. Lieu a gardé pleinement, non seulement pendant les jours où Oncle Ho restait et travaillait chez lui, mais pendant plus de 8 ans de résistance, il n’en a parlé à aucune personne.
Pendant les jours où l’Oncle travaillait dans le village de Van Phuc. Mademoiselle Thanh cuisinait fréquemment pour lui. Pour assurer la confidentialité, les nourritures et alimentaires ont été ramenés par la famille de Monsieur Duong et la localité et cuisinés par Mademoiselle Thanh. L’Oncle Ho aimait manger le porc au caramel et nombreux légumes. Ensemble avec L’Oncle Ho, il y avait le camarade Nguyen Luong Bang et à côté de lui, il y avait les gardiens nommés par l’Oncle comme suit : Truong, Ky, Khang, Chien, Nhat, Dinh, Thang, Loi. De temps en temps venant pour lui renconrer, c’est le camarade Tran Dang Ninh.
Dans la dernière moitié du 12/1946, les colonialistes français ont continué à provoquer les conflits partout, surtout à Hanoi.
Le 17 décembre, ils ont brutalement assassiné les compatriotes dans la rue Hang Bun; Le 18 décembre, la France nous a envoyé à plusieurs reprises un ultimatum pour demander à occuper un certain nombre de postes importants à Hanoi, en exigeant à dissoudre nos forces de sécurité, de suspendre les activités préparatoires de la Résistance, exigeant que l’armée française maintienne la sécurité dans la ville, à la date limite, le 20 décembre 1946. Dans cette situation, les 18 et 19 décembre, Oncle Ho a présidé la réunion d’expansion du Comité central permanent dans le village de Van Phuc, décidant de déclencher la résistance dans l’ensemble du pays. La réunion a lancé une politique fondamentale de la résistance persistante contre la France et via l’appel de Ho Chi Minh pour une «résistance nationale».
Le journal du camarade Vu Ky raconte les moments les plus tendus de l’Oncle Ho au village de Van Phuc en écrivant la proclamation en appelant tous les peuples du pays :
– Le 19/12, à la première lueur du jour, il a réveillé, demandé à préparer les papiers et le stylo. La nuit dernière, il ne dormait pas bien, ses yeux étaient cernés. Il a lu pour écrire une lettre à envoyer au Premier Ministre de la France Leon Blum. L’Oncle a lu directement en Français. Parfois il doit lui redemander pour écrire correctement. La température était froide, le vent pénétrait à travers de la fente de porte, fait tressaillir la lampe à l’huile. Les lignes n’étaient pas bien alignées. Une image reflétée sur le mur que L’Oncle Ho s’asseyait en mettant un manteau, reste encore stable, ne pas bouger. Aucune personne pouvait imaginer que l’Oncle Ho se relevait depuis le début du matin et s’absorbait à travailler dans le grenier étroit de « Bachelier» du village Van Phuc. À cet heure au l’hiver froid, peut-être plusieurs personnes restaient à dormir.
Au matin, nous sommes allés directement au Nord pour rencontrer monsieur Giam en demandant les nouvelles. 12h30, nous sommes rentrés à rapporter à l’Oncle Ho. Lorsqu’il a entendu que Jean Sainteny n’a pas accueilli Monsieur Giam, l’Oncle Ho fronçait légèrement les sourcils. L’Oncle Ho était pensif pendant un petit moment, puis il a dit comme lâché sans réflexion « Eh bien, combattre ». À midi le 19 décembre, l’Oncle Ho n’a pas dormi, il a juste assis fixement et écrit…
6h45 au soir du 19/12, Oncle Ho a été quitté Van Phuc et l’Appel de la Résistance nationale l’a suivi et répandu partout, a touché aux millions cœurs Vietnamiens, comme une indice de sauver le pays “ Compatriotes de la nation! Nous voulons la paix, nous devons faire des compromis, mais plus nous conquérons, plus l’invasion coloniale française sont déterminés à voler note pays! Non! Nous préférerions tout sacrifier, mais certainement ne pas perdre du pays, certainement ne pas être des esclaves
…Le moment est venu. Nous devons sacrifier la dernière goutte de sang pour préserver le pays. Malgré des difficultés de la résistance, mais avec une détermination à sacrifier, une victoire sera à notre nation! »
Cet appel solennel à cette journée résonne encore, magnanimement, a porté l’âme des montagnes et des rivières du Vietnam. Peu de gens soupçonnent que le président bien-aimé de la nation l’a préparé pendant le mini dans un étroit couloir du village de Van Phuc